La déco luxueuse et ostentatoire proclamait à la fois la fortune et l’absence de sens esthétique du propriétaire des lieux, dont les choix décoratifs correspondaient à la version friquée du coucher de soleil en canevas.(...)
Indépendamment de ces considérations, cela me paraissait plutôt rassurant puisque, si je me trouvais ici, c'était précisément pour soutirer du fric au taulier et non pour débattre de la conception bourgeoise du beau comme marqueur social dans la société post-industrielle. (p. 11)