Depuis vingt ans, des usines transformant des tomates locales pour des marchés nationaux ferment du jour au lendemain parce qu'elles ne sont "pas assez compétitives". Entendez par là : incapables de rivaliser, au sein de l'économie globalisée, avec les barils de concentré d'importation venus de l'autre bout du monde, à un prix très faible.