Le désir n’est qu’un référent comme un autre, la séduction lui est immédiatement transcendante, et l’emporte par l’esprit justement. La séduction est un trait, elle court-circuite ici les deux figures destinataires dans une sorte de sur-impression imaginaire, où peut-être en effet le désir les confond, en tout cas ce trait provoque la confusion du désir, le renvoie à une indistinction et à un léger vertige, fait de l’émanation subtile d’une indifférence supérieure, d’un rire qui vient effacer son implication trop sérieuse encore.