« C’était mieux avant. »
(...)
Quand je pouvais fumer partout si l’envie m’en prenait.
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Quand mon père était à mes côtés.
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Quand je courais vers la boulangerie pour m’acheter un petit pain au lieu de marcher à petits pas vers la pharmacie pour me procurer un médicament.
Quand j’ignorais ce qu’était une insomnie.
Quand je trouvais mes héros dans les livres et que, me confondant avec eux, je changeais d’identité et que celle que je croyais être la mienne n’avait plus de limites.