Cardinal Joseph Ratzinger :
Maintenant que l'on a pleinement savouré les promesses de la liberté illimitée, nous commençons à comprendre à nouveau l'expression "tristesse de ce monde". Les plaisirs interdits perdirent leur attrait dès l'instant où ils ne furent plus interdits. Même poussés à l'extrême et indéfiniment renouvelés, ils semblent fades, parce qu'ils sont tous finis et qu'il y a en nous une faim d'infini.