Il y a une quinzaine d’années, lorsque les institutions bancaires prirent le pouvoir, nos gouvernants découvrirent l’intérêt financier de ces aliénations. Alors que les collections avaient été jusque-là proclamées « inaliénables » – éléments intégrés et indissociables d’un patrimoine national – elles devenaient « ressources » dans lesquelles puiser à l’égal des autres ressources naturelles d’un territoire donné.