Une majorité cependant ne rêve pas de disparaître en forêt, et le souhaite encore moins. Nombreux sont ceux qui préfèrent inventer de petites bulles de retrait et d’abandon tout en restant ouverts à l’agitation du monde, branchés sur son excitation virevoltante. Se retirer un peu, de temps en temps, pour que tout continue comme avant ou presque. L’hypothèse d’un basculement vers un modèle d’écologie radicale ne saurait s’imposer qu’à l’issue d’une crise majeure.