C'est ce qui explique que la sacro-sainte "croissance" - c''est-à-dire l'idéal absurde (dans un monde aux ressources naturelles limitées) d'un développement infini de la production marchande et de la consommation aliénée qui en constitue l'autre face - ne soit plus, de nos jours, que le prête-nom médiatique de l'accumulation illimitée du capital, c'est-à-dire du processus d'enrichissement sans fin de ceux qui sont déjà riches.