Aujourd'hui, on regarde les favelas de Rio, les bidonvilles de Delhi à la télé. À cette époque (1972), il suffisait de sortir de Paris et de sauter le périphérique pour trouver la misère.
Dans ce fatras de planches et de tôles, il y avait des Algériens venus reconstruire la France, des Espagnols, des Portugais fuyant la dictature et la misère, des Gitans rejetés de partout.
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Bientôt, il y aurait des Africains, des Asiatiques venus par bateaux.
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Le nouveau visage de la France...
Celui que personne ne veut voir.