Certes l'idée de mourir n'est guère réjouissante.
Mais l'étrange est que l'on s'y fait, avec un minimum
de philosophie. Quitter un monde à la dérive, crapo-
teux et borné d'écrans, recuit d'artifices, secoué de
séismes, et le pire, peuplé d'humains dévastateurs appli-
qués à réaliser leurs cauchemars à force de paradoxes
branlants, voilà qui s'impose comme la seule heureuse
perspective.
p.152-153