Le poète croyant devra … ne parler d'une certaine manière de sa foi qu'en laissant le langage poétique en parler lui-même et de lui-même comme une réinvention du sacré à l'intérieur de sa propre parole. Ce sera peut-être le meilleur moyen pour ce langage d'être et de rester poésie tout en attestant et en communiquant une expérience authentique du mystère religieux.