J’admire la patience avec laquelle Jean Marais endort sa fougue et s’acharne aux difficultés. Il soigne les moindres détails d’un paysage, les laisse sécher, les masque de feuilles elles-mêmes recouvertes de fleurs que d’autres fleurs recouvrent. Aucune complaisance ne sauve des préparatifs aussi nets que la couche définitive.