Il n'y a qu'un art, il n'est ni d'homme ni de femme. Toutes ces distinctions, toutes ces mascarades d'idées imbéciles reviennent époque après époque comme une houle abrutissante. Le mâle dessin et la féminine couleur, cette soi-disant féminité de la manière impressionniste, les adorables délices et les délicates sensations sont à mourrir d'abattement.