N'empêche que nous vivions dans la peur et que chaque jour nous paraissait long comme vingt ans. (...)
La violence a fini par décroître. La Chine était épuisée, les Chinois n'avaient plus aucune perspective devant eux. Lors de notre première visite, en 1975, nous avions vu ce pays appauvri, arrêté, comme hors du temps. (p. 133-134)