De sorte que, quand une certaine maitrise technique est acquise, le progrès ne passe plus par le renforcement du contrôle, mais au contraire par l'abandon au plaisir de se sentir agir et d'être soi dans l'action. Pour franchir ce pas, l'apprenti calligraphe doit cesser, le moment venu, de se contraindre et réaliser sans plus attendre, dans l'écriture, le bonheur d'agir. Il retrouve alors la réalité vécue de l'enfance.