Il se souvient. De toutes les fois où il a été touché. Des caresses intarissables de la mère, de celles plus rares mais tellement émouvantes du père. De celles, plus tard, chargées d'émoi, de Marie-Soleil.
Et, surtout, de la dernière caresse du monde. Celle, friable, de la main mourante de sa mère, à I'hôpital de Montmagny.