Les troupes françaises se ruent à l’assaut et tirent trois décharges successives. Mais la plus grande confusion règne parmi leurs rangs : embarrassés par leurs uniformes et leurs guêtres, éreintés par une marche forcée depuis Beauport, les réguliers français courent moins vite et trébuchent sur les miliciens canadiens qui, peu habitués à la bataille rangée, s’agenouillent pour tirer et se couchent pour recharger.
Les Anglais encaissent de pied ferme, sans riposter !.. Les ordres sont formels !..