J'ai vécu là, et puis je suis parti parce qu'ils m'ont quitté.
Je ne marche plus chez eux, chez moi, mais ma route continue.
Je vais vivre d'autres souvenirs.
(...)
Toutes rassemblées, les maisons des corons protégeaient l'enfant qui jouait sur le pignon.
Mais l'enfant est mort du départ des autres. (p.53)