Et vous vous figurez, vous autres réformistes que le patron se laissera manœuvrer, qu'il permettra à vos délégués de le surveiller, de fourrer leur nez dans ses comptes, de serrer la vis aux actionnaires?
Non, non, vous vous trompez. Une usine n'est pas une maison de repos ni un institut de bienfaisance. C'est un bastion du capital où vous devez suer des dividendes.