Le sage - ou le saint - chinois, même dans une doctrine aussi extrême que celle du Tao, est toujours ici.
La forme même dans laquelle il s’exprime est significative.
Ces anecdotes, ces paraboles, ces exemples, avec leur pointe d’humour si aiguë, indiquent un grand sens de ce qu’on appelle vulgairement la vie et la réalité.
Nous ne sommes pas, en lisant les taoïstes, plongés dans un état hypnagogique comme lorsque nous consultons les traités touffus de l’Inde.
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