Au début, il l’avait fait par désœuvrement. Parce qu’il avait tendance à considérer tout l’univers comme un grouillement d’appétits absurdes et d’obstinations futiles. Ça faisait quelque chose de nouveau à essayer. Puis, peu à peu, il s’était pris d’affection pour ce vieillard qui semblait partager avec lui le même regard désabusé sur les choses et qui, pourtant, poursuivait son combat avec un acharnement tranquille.