"Il m’emporta vers un lieu d’où jamais personne ne revient,
Un endroit où, parés d’ailes et de plumes comme les oiseaux,
Les gens n’ont pour seule nourriture que la poussière et la boue,
Un monde définitivement orphelin de la lumière du jour.
Non, point de clarté en ce lieu,
Mais un océan de noirceur
Où se terrent les âmes, accroupies,
S’y consumant devant l’échelle de l’infini."