Comme le secrétaire florentin, le philosophe gascon peut bien admettre le crime comme "nécessaire" et "utile' , le "mal" comme source d'énergie politique. Mais la rude leçon du Prince, reprise chez lui, est insérée, modulée dans un ample discours pour la tolérance, contre la tyrannie et la cruauté. (p.231).