Monsieur et ami,
Depuis le commencement de ces troubles politiques, sociaux, biologiques, je ne sais, qui élu pour siège le quartier de Paris où se dispense le Savoir, et n’ont même pas épargné le Collège de France, sanctuaire pourtant inviolé de la pensée la plus pure, la mieux protégée des commotions temporelles, M. Teste, ainsi que je vous l’ai dit dans ma dernière lettre, semblait être la proie d’un combat mental exacerbé. En vérité, je ne me souviens pas l’avoir jamais vu se débattre aussi farouchement contre son ange, ou son démon ?
(A la manière de Paul Valéry)