Car, qu'on le déplore ou non, que cela choque ou pas ceux qui, chez nous, veulent transformer le cheval en animal de compagnie, en bête à calins ou en grosse peluche, la dure réalité est que lorsqu'une race équine, une variété chevaline ne sert plus à rien, elle disparait. Ce n'est peut-être pas une loi de la nature, mais c'est une loi de l'économie: lorsqu'il n'y a plus de débouchés pour un produit, on cesse de le produire.