Dites-moi si vous approuvez la prononciation de Paris, qui coupe en deux le monosyllabe eu ; j'ai éü, il a éü, et qui rend Rome et lionne comme ils sont écrits, au lieu que toute la France prononce Roume et lioune.
Lettre de Balzac à Chapelain du 20 janvier 1640, cité dans une note de M. Monmerqué, sur le premier tome des Historiettes de Tallemant des Réaux (selon qui Malherbe semble adopter cette prononciation de éü)