p. 117 : Le silence particulier qui régnait sur l'île frappait également le visiteur. La rumeur que l'on entendait partout n'existait pas ici : pas de voiture, de camion-poubelle, de train ni de machine. L'Atlantique semblait absorber doucement les quelques sons existants qui, une fois disparue, amplifiaient le silence. Beaucoup de choses étaient différentes, cela sautait aux yeux dès qu'on mettait le pied sur l'île, mais il fallait du temps avant de comprendre ce qui rendait ce monde si singulier.