Il avait l’impression de ne pas avoir assez d’yeux pour embrasser tout ce qu’il voyait, que son esprit n’était pas assez vaste pour appréhender la vision qui s’offrait à lui. Où était-il ? Qu’étaient ces choses ? Il croyait presque pouvoir les toucher en tendant le bras, mais une part de lui, tout au fond, lui soufflait qu’elles se trouvaient extraordinairement loin, que c’était seulement leur masse colossale qui les faisait paraître proches. […] C’était beau… beau et terrifiant.