A peine avions-nous pénétré dans le salon que Pascal, prétextant l'heure de l'apéritif, m'a proposé un verre que je me suis empressée de refuser d'un hochement négatif de la tête et d'un vague grognement. Devant mon attitude rebelle, il a haussé les épaules et soupiré, s'est approché du bar où il s'est servi un verre de son meilleur whisky, celui qu'il se réserve habituellement pour les grandes occasions.