Je repense à ce que me disait la mère de Suraï, au temps où il n'y avait pas de moteur, où il fallait haler les pirogues ou les porter à dos d'homme pour pouvoir passer. Le fleuve étant toujours la meilleure route à prendre, on peut juger de l'isolement des populations qui vivaient en amont, il y a seulement quelques décennies.