N'ayant d'autre principe moral que celui de ne pas nuire à autrui et d'affecter chacun d'une égale considération - ce qui me paraît une règle largement suffisante pour vivre une vie d'honnête homme en société -, je ne vois rien de criminel dans le fait de manger la dépouille de mon semblable, mais bien dans le fait de lui avoir ôté la vie, que ce soit pour cette raison ou pour une autre.