Avant, il lui en fallait des caresses, des gâteries, des choses qui parfois me coûtaient un peu parce qu’il faisait de moi sa chose. C’est pas que je n’aimais pas nos séances d’amour, mais tout de même, Raymond, parfois, exagérait et ne me laissait pas souvent tranquille. Et là, sans crier gare, il devenait tout calme. Moins de désir. Juste une fois de temps en temps, il m’honorait, comme on dit.