Quand le son se mourait dans des pianissimos, je sentais des caresses sur ma peau. Quand l'archer se mettait à frotter plusieurs cordes à la fois, je sursautais comme si ces cris de colère polyphoniques s'adressaient à moi, et parfois quand les doigts de la main droite de Stefan pinçaient les cordes, je croyais entendre des gouttes de pluie tomber sur la Temes.