Avec son chapeau, il ressemble à un de ces journaliers pauvrement vêtus qui vont de ferme en ferme quémander un peu de besogne contre une assiette de soupe et un bout de fromage. Il lève les yeux vers la butte, je crains qu'il ne vienne chercher de l'ombre dans la chênaie, mais il reprend sa route vers Auvers, sans se presser, et après le coude de la rivière, il disparaît à mon regard.