Si le tirage au sort lui était favorable, il n'aurait d'autre alternative que d'obéir ou d'être déshérité, ou pire, s'il tirait un mauvais numéro, il risquait de partir trois ans à l'armée d'Afrique. Il préférait la faculté, là-bas au moins, il s'exposait uniquement à mourir d'ennui.