Un compromis intelligent… C’était l’argument officiel, maintes fois seriné lors de la campagne qui avait précédé le vote de la Loi de délocalisation du troisième âge. À prestations égales, le coût de la vie était six fois moins élevé en Chine. Y expédier les retraités permettait de leur offrir une fin de vie décente, à moindres frais pour la collectivité.