Des étoiles aux étrons la lumière napolitaine raconte tout, expose les nuits comme en plein jour. Elle est torse comme une colonne baroque qui joue à faire tourbillonner sur son fût de chêne doré la tête de mort édentée, au crâne et orbites patinés par des mains palpitant de vie, avec la tête joufflue d'un séraphin au cou annelé de rondeurs grasses ailées de larges rémiges.