Contrairement aux apparences, constituer un musée des horreurs est une chose simple. Au forgeron, le brasero, les pinces. Au menuisier, la scie, les tenailles. Au couvreur, le godet à fondre le plomb. Au marin, la poix. Au cordonnier, les alênes. De même que les corps de métier s’honorent de leurs saints patrons, ils s’avilissent à fournir les instruments du supplice.