Vivre avec Anna était aussi simple, aussi agréable, que descendre une longue côte à vélo par un après-midi d'été. L'air de la vie sifflait doucement à vos oreilles et une brise aux odeurs de foin coupé vous caressait le visage. Les heures et les jours s'engrenaient sans la moindre secousse, et la nuit, lorsque vous ouvriez les yeux, vous éprouviez ce précieux sentiment d'avoir trouvé votre place sur cette terre.