Elle dit que c'est pour ça que les gens achètent encore des romans, malgré Internet, le réchauffement climatique et la télé-réalité. Parce que la vie n'est pas pleine d'imprévus. Parce que le champ des possibles est infiniment réduit. Parce que ceux que nous croisons sont souvent décevants, une fois qu'on les connaît.