Ce réveil, comme celui de la Belle au bois dormant dans le film, aurait bousculé le silence et l’immobilité de cette chambre trop sombre, trop étouffée, où des ombres se mouvaient en ondulant à contre-jour pareilles aux poissons de l’aquarium, où les bouches ne parlaient que par chuchotements de papier qu’on froisse.