Je ne parviens pas à me perdre dans mon roman comme dans une forêt, je reste sur les sentiers, à suivre les ornières ignobles de toutes les charrettes précédentes. Il faut que mon coeur se mette en marche et devienne le bulldozer qui m'ouvrira mon propre chemin.
(...) je ne peux pas écrire la tête froide, il faut que ça bouillonne et que ça gronde.