Les meurtres, les viols, les enlèvements d’Européens, sans compter les pillages et les mises à sac, rendaient la vie définitivement impossible au Katanga. La famille de mon père ne se remit jamais vraiment de ce désastre qui ressemblait, par bien des aspects, aux faillites, ventes à vil prix ou expropriations que connurent tant de pieds-noirs et de colons français en Algérie.