AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jean Robin (7)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
H.P. Lovecraft et le secret des adorateurs ..

Jean Robin, Howard Phillips Lovecraft et le Secret des Adorateurs du Serpent (Guy Trédaniel)





« Car une chose, à présent, m’apparaît comme tout à fait sûre. La haute nébuleuse tourbillonnaire mise en mouvement par H.P. Lovecraft à partir de son propre ayant voulu mythologique, à propos de son propre ayant voulu rêvé à l’égard de la figure océanique abyssale de Cthulhu n’a su entraîner dans sa carrière métasociale et métahistorique, et encore moins dans son devenir conspirationnel direct, que des éléments prédisposés, gagnés d’avance à l’immense rêve cosmique du Retour en Arrière et des retrouvailles apocalyptiques avec les Grands Antérieurs, les Elders Ones, rêve porté à l’être et souterrainement véhiculé par la seule volonté lovecraftienne d’un recommencement, d’un commencement autre de l’après-histoire à laquelle il s’est trouvé confronté dans sa conception exclusivement visionnaire du monde et de son histoire actuelle, de son histoire finale. »

Jean Parvulesco, L’Etoile de l’Empire Invisible, p 235, Guy Trédaniel.





Les Rois d'Edom sont les régents des anciens cycles cosmiques pré-adamiques oubliés peut-on lire dès le début du livre. Passés de l' « autre côté », par-delà les portes du rêve, ils sont les « Gardiens du Seuil » et la Tradition raconte que ce sont « Eux » qui « veillent » sur les sept climats. Dans l'ésotérisme islamique, ils sont surnommés « Aqtabs » et tiennent la fonction des « piliers » qui soutiennent les sept terres. Parmi eux, règne en maître Khwaja Khidr le « Verdoyant », roi des 72 « esseulés » ou Abdâls qui dans les coulisses décident du sort et du destin du monde. Le tout dernier livre de Jean Robin, Howard Phillips Lovecraft et le Secret des Adorateurs du Serpent est consacré au « Prince Noir de Providence », auteur de SF et de Fantastique culte que l'on ne présente plus, j'ai nommé H.P. Lovecraft. A l'heure où les écrits consacrées à l'univers Lovecraftien et au mythe de Cthulhu (devenu même « religion d'état » chez de nombreux « geeks » et « rôlistes », amateurs de SF et de « contre-culture » ) ne se comptent plus, cette étude originale a l'avantage de sortir du lot puisqu'elle explore d'une part l'œuvre de Lovecraft sous une grille de lecture atypique, fidèle à la doctrine Traditionnelle de René Guénon dont Jean Robin est sans contexte aujourd'hui en France, l'un des plus fidèles héritiers et éminents représentants en « esprit » et d'autre part, parce que le « fil rouge » du livre explore des thèmes explosifs, brûlants d'actualité où entrent en scène ouvertement les conflits géopolitiques qui enflamment et ensanglantent le monde en cette fin de Kali Yuga.

La ligne directrice générale du livre est dans le sillage de ses précédents écrits à propos des mystères Sétiens et de la « Société de Celui qui doit Venir » et nous dévoile des arcanes saturniennes et sulfureuses auxquelles sont habitués les lecteurs initiés à son œuvre et que les profanes encore néophytes auront l'opportunité d'aborder. Encore plus déstabilisant et « renversant » que ses prédécesseurs, ce tout dernier ouvrage de Jean Robin n'hésite pas à invoquer l' « Antique Serpent » Nahash, au risque de subir les foudres des guénoniens intransigeants, et de faire sombrer l'esprit du lecteur dans des abîmes ontologiques sans précédent, livrant des perspectives métaphysiques vertigineuses que seuls les plus téméraires oseront affronter jusqu'au bout. Car Howard Phillips Lovecraft et le Secret des Adorateurs du Serpent ouvre en effet des canaux oubliés et spectraux qui réveillent l'ancien culte « Ophite » des initiés Sabéens, « Adorateurs du Serpent » dont Guénon avait clairement définit les fonctions de « Gardiens du Graal » et de « Templiers de l'Agarttha ».

Selon cette perspective gnostique somme toute singulière, loin de désigner « Satan », principe du mal absolu avec lequel les littéralistes et ecclésiaux bornés ont tôt fait de l'assimiler, le « Serpent du Paradis » incarne la Gnose authentique, épurée de toute forme de dualisme, dont il détient la « Garde ».C'est suivant le même « modus operandi » que Jean Robin a su faire sortir l'œuvre d'H.P.L. du carcan étroit au sein duquel les critiques avaient cherchés jusqu'ici à l'isoler, ne voyant dans les écrits du « Prince Noir de Providence » qu'un « autodidacte assez frustre, prisonnier d'une sous-littérature réfugiée dans les "revues à quatre sous aux couvertures bariolées » ». Cette subtile et originale exégèse Lovecraftienne réveille aussi les fantômes de figures centrales et de personnages clés de la méta-histoire. Nous faisons ici allusion, pour n'en citer que quelques-uns, à des personnalités insaisissables comme le Comte d'Erlette, François Honoré Balfour, fondateur du « Cercle Intérieur » du « Secret du Roi » et initiateur du Chevalier d’Éon dans le cadre de ses activités métapolitiques. On rencontre aussi, à la croisée d'un carrefour, la figure de Margaret Murray, Grande inspiratrice de la « Witchcraft » anglo-saxonne contemporaine ou encore Nikolas Shreck le gendre d’Anton La Vey, et cerise sur le gâteau, Jean Robin nous dévoile l'identité « occulte » du mystérieux Abdul Alhazred, l'Arabe dément auteur du non moins insolite Necronomicon, ouvrage maudit aux origines obscures. Ainsi, de Louis Ferdinand Céline à Khwaja Khidr, le prophète solitaire et "Verdoyant" de la tradition soufie en passant par Jacob Frank, Sabataï Zevi, le Marquis de Sade, Simon le Magicien ou bien encore Ibn'Arabi le théosophe Andalou, c'est ici toute une Tradition maudite, occultée et mise à l'écart par les autorités sacerdotales officielles des différentes religions établies que Jean Robin réhabilite en toute légitimité, ce qui est tout à son honneur. Cette brillante et insolite étude nous invite donc à embrasser une métaphysique ayant dépassé toute forme de dualisme, où les antagonismes se résorbent dans l'Unité transcendantale et ouvrent des portes oubliées de la conscience, siège de la libération ultime de l'esprit où nos retrouvailles avec les « Grands Anciens », « régents interlopes d'un arrière-monde que Lovecraft n'a pas imaginé mais qu'il a vu. » annoncent leur retour imminent sur la scène du monde.

« Dans un très grand nombre de phénomènes soumis aux anthropologues parmi d'autres, il y avait une certaine structure commune à tous. C'était cette croyance mythologique en la présence d'êtres que du fait de pratiques noires, perdirent pied et furent chassés de la Terre par les « Anciens Dieux ». Ceux-ci les emprisonnèrent dans une autre dimension spatio-temporelle, d'où ces « maudits » -entités cosmiques originaires de Bételgeuse tout comme leurs adversaires les Anciens Dieux (ou les « Autres Dieux ») - se manifestent cependant « par des tentatives pour recouvrir leurs pouvoirs et leur possession de la Terre ainsi que des « êtres » inférieurs qui l'habitent maintenant - inférieurs, probablement, à cause de leur sujétion à des lois moindres qui ne concernent pas les êtres expulsés qu'on connaît sous différents noms, le plus usité étant les « Grands Anciens », qui étaient adorés par nombre de peuplades primitives. »



(A.Derleth et H.P.Lovecraft, Le Rôdeur devant le Seuil)



Ces « Anciens Dieux » imposteurs et malveillants sont les Archontes qui sous le voile des religions établies aveuglent les consciences. Mais pour Jean Robin, les temps du grand dénouement final où les masques tomberont sont proches et le retour des « Grands Anciens » qui surviendra alors annoncera le couronnement de l'Imperium Eschatologique. C'est donc un éprouvant voyage initiatique que nous invite à mener Jean Robin, au cours duquel le lecteur téméraire qui aura su dépasser ses peurs et ses a priori sera alors jugé digne d'aborder des rivages antédiluviens et des sentiers oubliés de l'Histoire officielle au détour desquels se profile l'ombre des Thuatha de Dannân, des Yézidis « adorateurs du diable », de la Reine de Saba, d' Iao-Seth-Abrasax, d'Isaïe, du Saint Graal ou encore de l'Arche d'Alliance dont les secrets sont bien gardés quelque part sur Saturne. Mais pour ne rien gâcher au plaisir du lecteur, nous n'en dirons pas plus et lui laisseront le soin de savourer par lui même cet éprouvant voyage initiatique qui l’entraînera bien au-delà de l'espace et du temps, du bien et du mal, là où la physique quantique épouse la Tradition et ouvre des portails secrets et réservés dévoilant des contrées situées au delà même du rêve, sous la garde des Rois d'Edom, les « Grands Anciens » que Lovecraft avait « vu » et dont il avait prophétisé le retour.

« N'est pas mort ce qui à jamais dort et au long des ères étranges peut mourir même la Mort ».



« Enfin le sacrement de mon élixir fait du Deux le Un,

Celui qui voit dans la nuit devant et derrière,

Qui ne dort jamais, qui veille pour l’éternité

Et les Éons pour lui sont comme les veilleurs d’un jour. »



Gustav Meyrink, L’Ange à la fenêtre de l’Occident



« La tentative de mise en assujettissement clandestin de l’ensemble de l’après-histoire actuelle du monde, assujettissement envers la figure mythologique du Retour aux Grands Antérieurs dont il faut tenir H.P. Lovecraft pour principal si ce n’est pour seul responsable, n’a pas pu passer la barrière de sa projection sous le grand jour de l’histoire immédiate, ni su investir en force – mais l’aura-t-elle vraiment cherche – investir en force , dis-je, et durablement, les espaces désertés de l’inconscient religieux occidental. Mais elle aura su y établir, néanmoins, la ligne de combat d’un front mythologique traversant l’après-histoire actuelle du monde comme une ligne de fracture océanique aussi occulte que décisive, et aussi décisive qu’ abyssalement tenue de poursuive son action jusqu’à son terme ultime. Un terme ultime dont la meilleure définition, la meilleure définition active je veux dire, se trouve consignée dans la dernière phrase du livre de Robert Bloch, Retour à Arkham : « Le grand Cthulhu prit possession du monde, et ce fut le commencement de son Règne Éternel. »



Jean Parvulesco, L’Etoile de l’Empire Invisible, p 235, Guy Trédaniel.



Commenter  J’apprécie          50
H.P. Lovecraft et le secret des adorateurs ..

L’ouvrage s’inscrit dans la philosophie de base de Jean Robin : il existe une sorte de colonne vertébrale (axe du monde) à l’extrémité de laquelle se situe une pierre noire. C’est l’axe eschatologique, qui aboutit dans le Razès (région de Rennes-le-Château). C’est là où « ça » se produira.



Lovecraft « nous révèle les éléments majeurs d’une eschatologie placée sous le signe de la sacralité transgressive et dont les Grands Anciens seront les acteurs principaux. » A noter que JR utilise les Grands Anciens et non pas les Dieux Très Anciens ou Dieux Extérieurs du panthéon lovecraftien. Les Grands Anciens ne sont pas à proprement parler des déités, mais des créatures très puissantes et dotées de capacités quasi surnaturelles, qui ont défié les Dieux Très Anciens. Ils ont été exilés aux quatre coins de l’Univers et emprisonnés sous le sceau magique du Signe des Anciens. Si l’on se tient au canon lovecraftien, l’eschatologie de JR est donc une eschatologie noire.

La démarche de l’auteur repose sur deux piliers :

° une utilisation permanente de ce qu’on peut appeler, faute de mieux, la physique quantique. L’espace et le temps se confondent et la matière n’est que particules. Dès lors, tout est possible : voyager dans le temps, traverser les montagnes… Et nous sommes gâtés : Lovecraft revient régulièrement après sa mort, notamment à Couiza ; Abdul Alhazred et le Comte d’Erlette existent, tous comme leurs ouvrages etc…

° l’auteur possède une vaste culture, historique, symbolique et ésotérique (Guénon) ; mais sa source principale est un informateur, Monsieur Pierre, que nous avons déjà rencontré dans Opération ORTH. Ce dernier est un conseiller occulte du Président Obama et membre d’un groupe occulte, La société de Celui qui doit venir.

Il résulte de tout cela que, face aux nombreuses affirmations discutables de JR, il n’y a que deux attitudes possibles : sourire ou le croire sur parole.

Commenter  J’apprécie          40
Operation Orth ou l'incroyable secret de Re..

Difficile de qualifier l’ouvrage de Jean Robin, Opération ORTH ou l’Incroyable secret de Rennes-le-Château (Guy Trédaniel 1989). L’auteur avoue du reste dans l’introduction qu’il pensait à l’origine écrire un roman ; j’aurais certainement dévoré celui-ci avec passion. Mais là…… En fait, ce livre en contient deux qui se recoupent sans totalement se recouvrir. D’un côté, une analyse assez classique de l’énigme, mais très précise et suffisamment critique pour inspirer la confiance. L’auteur privilégie la piste dite dynastique, tout en reconnaissant qu’elle repose sur peu de choses, si ce n’est un parchemin dont on n’a jamais vu l’original et une copie qui était manifestement un faux . Mais en bon disciple de Guénon qu’il est, Jean Robin plonge avec délices sur la dite piste pour déboucher sur la thèse du Grand Monarque puis sur celle du Roi du Monde. Pourquoi pas, dans la mesure ou tout cela n’est que de la rêvo-théorie…..

L’autre livre est beaucoup plus perturbant…. pour la santé mentale du lecteur…….. Et laisse planer un doute sur celle de l’auteur…. Cela commence par un étrange talisman, déterré dans le cimetière de Millau, puis transporté à proximité de RLC avant d’être livré sur une île norvégienne.

Roman ? Mais non, l’auteur et un de ses amis, Pierre, sont les protagonistes de l’affaire. Une affaire pilotée par un mystérieux Ordre Secret des Compagnons (du Général de Gaulle bien sûr), lui-même noyauté par un mystérieux Ordre Noir dont le but est de contrôler la matière et de régner sur le monde. Le fameux Pierre aura du reste la faveur de visiter le Head Office de cet Ordre, situé dans une montagne à Valparaiso. Et il s’y rendra bien sûr en soucoupe volante, un véhicule particulièrement performant puisqu’il est capable de traverser la matière…. Ajoutons pour terminer qu’il verra dans cet étrange sanctuaire la dépouille de Hitler, mort ici en 1953. Un Führer dont la mission divine était de « détruire pour reconstruire sur de bonnes bases » ……….

Un roman ? Non, l’auteur avoue avoir été incapable de l’écrire « mes personnages, au bout de dix pages, refusèrent de collaborer, arrachant l’un après l’autre des masques qui s’étaient mis à fondre comme cire ». Bien dommage….

Commenter  J’apprécie          21
Imperator : L'épopée de Julien l'Apostat

Tombé dessus par hasard à la bibliothèque, ce roman m’a t’oit de suite interpellé. En effet, j’apprécie les romans qui mettent en avant des figures méconnues de l’Histoire. Julien l’Apostat en est une. Le roman commence bien avec un récit assez structuré autour de la succession de l’empereur Constantin. Malheureusement, l’auteur s’enfonce dans des théories mystico-ésotériques, la cerise sur le gâteau étant le dernier chapitre.



Commenter  J’apprécie          10
Rennes-le-Château : La colline envoûtée

Avec Rennes-le-Château, la Colline Envoûtée (Guy Trédaniel, 1982), Jean Robin apporte incontestablement une pierre importante à l’étude du Mythe. Il nous est proposé en effet un travail méticuleux de débunking de l’affaire Plantard et du Prieuré de Sion, un démontage quasi mécanique de la supercherie dont fut victime Gérard de Sède. Rien ne résiste aux outils de chirurgien de Jean Robin, faux manuscrits, parchemins trafiqués, stèle et dalles douteuses, citations inventées, personnages fabriqués…etc……… Avec au fond de la bouche, un goût amer, celui d’avoir rêvé avec les livres de Gérard de Sède, et celui d’avoir vu le rêve s’écrouler…….. Et avec une lancinante question tout au long de l’ouvrage : mais pourquoi avoir monté cette invraisemblable mystification ? Jean Robin y voit de sombres machinations politiques, sur fond de haine qui flirte avec le racisme……. Etrange tout cela……

Je ne peux m’empêcher de citer un des passages qui m’a particulièrement amusé !



Citation du Marquis de Cherisey :

« M'étant rendu à Rennes les Bains en 1961 et ayant appris qu’après de l'abbé la mairie de Rennes-le-Château avait brûlé (avec ses archives), j'ai profité de l'occasion pour inventer que le maire s'était fait délivrer un calque des Parchemins découverts par l'abbé. Alors sur l'idée de Francis Blanche, je me suis mis en devoir de composer un calque codé sur des passages d'évangiles et de décoder moi-même ce que j'avais codé Enfin par voie détournée je faisais parvenir à Gérard de Sède le fruit de mes veilles. Cela a marché au-delà de mes espoirs. » En effet...

Comme nos lecteurs seront peut-être surpris par cette apparition inattendue du fantaisiste Francis Blanche, nous nous en voudrions de ne pas leur citer le récit que fit le marquis de Chérisey journaliste puis acteur de sa rencontre avec l'immortel auteur de Signé Furax : « Je l'ai rencontré pour la première fois dans un night-club proche de la place Saint Georges à Paris. Il jouait à faire peur et y réussissait ».

« Il a joué un grand rôle dans ma vie d'acteur à Bruxelles en 1961, à l'occasion du tournage de Vive le Duc, un film belge dont le moins on dira, mieux vaudra [sic]. Ensuite nous nous sommes rencontrés chez Cornehs, un spécialiste des marionnettes puis encore dans un night-club de la gare du Nord, aujourd'hui aboli. Il me fit raconter mes histoires de trésor, celle des rouleaux de bois d'où l'abbé Bérenger Saunière avait sorti des Parchemins qui depuis s'étaient éclipsés Pour rejoindre les coffres d'une banque anglaise.

Fabrique-moi ça. Je suis preneur...

Fabriquer quoi ?

Des parchemins. Torche-moi cette farce et adresse-la chez Arnaud de Chassipoulet. Elle paraîtra dans mon feuilleton radiophonique.

« Signé Furax » était le nom de ce feuilleton radiophonique qui a laissé quelques traces dans la mémoire des auditeurs. Croirait-on pourtant que Pierre-Arnaud de Chassipoulet (avec un nom pareil) existât vraiment ? J'ai rencontré ce monsieur qui avait un magasin de magnétophones près de la rue de la Boëtie, mais sans rien lui remettre. Les pseudo-parchemins avaient occupé une part si importante de mes activités, que leur histoire dépassait le cadre d'un feuilleton »

Telle est donc la genèse des célèbres Parchemins de l'abbé Saunière »……..

Commenter  J’apprécie          10
Veilleur où en est la nuit ? : Introduction..

Lecture compliquée, de part l’érudition de l'auteur. Je crains d'être passé à côté de pas mal de choses, du fait que je n'avais pas les connaissances nécessaires sur certains sujets abordés.



ça n'en reste pas moins un livre intéressant qui éclaire sur les sujets abordés. L'auteur ayant étudier les diverses religions, mythologies, prophéties et autres, à su y puiser les similitudes qui reviennent et analyser tout ça, aider par ses connaissances du monde politique, religieux, ésotérique, etc.



Un livre à lire uniquement si le sujet vous intéresse vraiment, et avec un dico à vos côtés.
Commenter  J’apprécie          00
Rennes-le-Château : La colline envoûtée

un livre passionnant qui reprend le mythe de rennes le chateau et du prieuré de Sion. il revoit la legende selon laquelle les premiers rois de france étaient d'origine extraterrestre... un bon moment avec un belle façon d'écrire.
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean Robin (40)Voir plus


{* *}