Évoquant l'opposition faite le plus souvent par l'extrême droite sur le droit du sol et le droit du sang (jus soli et jus sanguini), non sans arrière-pensée raciale et raciste, Adam Rayski, dirigeants de la MOI, puis des FTP–MOI, offre l'analyse la plus fine est la plus à même de terminer cet ouvrage : “Par leur engagement exceptionnel dans la guerre, et plus particulièrement dans la résistance, les immigrés semblent avoir dépassé cette opposition en versant leur sang sur le sol français.“