La présence de nous autres, Africains, à Lisbonne est fragile. Notre représentation politique est nulle. La vie associative tourne autour de la fête et de la nourriture. Musique et cachupa. La dimension africaine est en permanence réduite à ces éléments: bal, rythmes, bouffe. Tactique propice à la non-reconnaissance de toute création ou émergence d'une pensée africaine.