ses romans ne se réduisent pas à des témoignages historiques. Anna Langfus ne nous raconte pas "ses histoires". En présentant des situations, des atmosphères, des images elle s’adresse à notre sensibilité propre. Certes, elle trouve un certain apaisement en se délestant de ses obsessions, de ce qu'elle a appelé, en s'inspirant d'un vers d'André Breton, ses "bagages de sable", (...)