Il regarde le vieil homme qui s’est remis au travail, contemple ses mains qui savent ce qu’elles ont à faire.
Il l’envie.
Il voudrait n’avoir jamais à prendre aucune décision.
Ne plus rien avoir à penser. Juste faire des gestes, lui aussi, liés les uns aux autres par une nécessité qui n’a pas besoin d’être réfléchie. Pensée par d’autres, bien avant. Se couler dans une transmission sans parole.
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