Le son d’un violon rallume en eux tout ce qu’ils avaient mis des mois et des mois à éteindre… Ô misère de nos faiblesses ! Que sommes-nous pour qu’une corde qui vibre détruise l’œuvre patiente et volontaire, et qu’un renoncement fléchisse parce qu’un orchestre répète, sur une plage, les mélodies voluptueuses et mélancoliques qu’on joue partout dans les villes d’eau ?