Quand la confrontation avec un sujet qui ment ou dissimule se fait vive, le stress augmente chez celui-ci et il réagit en tentant d’y échapper par divers moyens – des barrières devant la vérité, comme les appelait Kathryn. L’état de réaction au stress le plus difficile à contrer est la colère, suivie par la dépression, le déni et, finalement, le marchandage. Il faut alors décider dans quel état de stress se trouve le sujet et le neutraliser jusqu’à ce qu’il passe à l’état d’acceptation, autrement dit d’aveu, dans lequel il dira enfin la vérité.